Il était une fois, l'histoire de deux individus...

Lui, il sombrait dans un profond sommeil... Des heures , des mois, des années meme s'écroulèrent et jamais il n'a pu se réanimer... jusqu'au jour ou il se réveilla brutalement, il ouvrit les yeux, contempla promptement son entourage couvert de débris, de cicatrices , de dommages, de pertes... "Est-ce moi qui ai causé toute cette ruine?" se demanda-t-il... Ravagé de remords, il cria de toutes ses forces , mais Hélas personne ne parvint à l'entendre... alors il replongea dans son repos ,en bredouillant : "je ne suis que le silence...,je suis condamné à rester sans voix...".

Elle, elle ne cessait de souffrir calmement dans son coin, obéissait aveuglément aux désirs, aux ordres, sans protester, acceptait tout engagements , meme ceux qui engendraient l'humiliation , sans oser contester... elle se nourrissait des injures, des indignités, des avanies, s'abreuvait d'amertumes, d'afflictions , de regrets...jusqu'au jour ou elle finit par se parer du courage,  de la force de crier : HALTE!!... mais Hélas personne ne réagit... alors elle se replia sur elle meme et murmura : " je ne suis que la soumission condamné à obéir, et vivre à la merci de la tyrannie humaine...".

le désespoir règne, la mélancolie campe, l'échec domine, tout commence à périr dans le noir... au moment ou une lanterne se tenait à distance , observait ce navire qui chavire dans l'océan de la detresse... furieuse ! elle lança un éclat de colère en s'écriant: " quelle misère !.. c'est ainsi que vous croyez pouvroir me garder? c'est ainsi que vous croyez pouvoir vous satisfaire et surmonter cette impasse?..."

Des yeux grands ouverts, des bouches bées,la guettait d'un air abasourdi , ébloui par sa voix, son rayon qui les a charmés... elle s'approcha d'eux ...

" Toi 'silence', protesta-t-elle , c'est dans ta bouche que réside la vérité , la loyauté... c'est dans ton ombre que s'abrite la lucidité... c'est dans tes pensées que s'ancre la sagesse... Réveille-toi, Exprime-toi , c'est ta voix qui arrose les ames, qui guide les esprits.."

un silence jovial régna... puis elle reprit:

" Et Toi 'Soumission', redresse-toi, crois en ton indépendance, en ta force , en ton pouvoir de dire NON... c'est dans tes jardins que bourgeonne la fierté, c'est dans tes tourelles que brille la dignité... garde la tete bien haute , et fonce ! affronte la vie avec chasteté , avec audace..."

une sublime noblesse rayonna...

une lumière magique se propagea... la lanterne, comblée, satisfaite, se retourna et prit le chemin du retour...

"Attendez!! " , s'écria la soumission,

" Mais qui etes vous? majesté! " , demanda le silence en s'inclinant.

Posément, elle répondit : je suis la FOI...

                                                                               écrit par : ASMAE

dounya

Lorsqu'on est encore petit ,on a hâte de grandir le plus vite possible et franchir le seuil du monde adulte . Et lorsqu'on est déjà grand ,on se dit : " Ah ! si j'étais encore petit !" . N'est-ce pas là ,une comédie de la vie?

Quand on est pris dans le piège de la solitude, on réclame l'importance de l'autre et on lui loue les meilleurs des privilèges . Et quand on a tant de monde autour,tant de visages à fréquenter, tant de bruit ;on attend avec impatience ces moments de solitude pour goûter enfin aux saveurs de la tranquilité et du calme . N'est-ce pas là, une contradiction de notre nature?

Parfois,lorsqu'on avance des jugements ou prend des décisions spontanément sans y réfléchir pleinement ,on le regrette après,et on souhaite si on pouvait rectifier les choses : retirer ce qu'on venait de dire, supprimer un message déjà envoyé, ou avoir dit autre chose à la place. Mais, on n'y peut plus rien parce que c'est trop tard . Des fois,lorsqu'on pèse nos mots ,tourne notre langue 7 fois dans la bouche, surveille bien nos comportements; soit on n'arrive plus à parler, soit on réagit comme il le faut, soit les choses se compliquent davantage . N'est-ce pas là, une impuissance de notre part de tout contrôler,ne seraient-ce que nos façons d'agir?

Quand on est en pleine année scolaire, chaque fois que l'occasion nous la permette ;presque tout le temps ;on compte les jours qui restent pour les vacances . Et quand on est en vacances, mais pas n'importe lesquelles, je dis bien les grandes vacances;on compte plutôt les semaines qui nous séparent de la rentrée. Une fois qu'on y est la première semaine, voilà qu'on recommence à compter :"septembre ,octobre, novembre,décembre,février.. mince alors! j'ai sauté janvier!". N'est-ce pas là une preuve d'une insatisfaction en permanence?

Lorsqu'on est en quête d'un amour quelconque,d'une étincelle de tendresse ou tout simplement d'un innocent sourire,on cherche souvent ailleurs alors qu'on peut nous même être notre source de bonheur. On peut aimer,éprouver de la tendresse et bien sûr sourire, non? . N'est-ce pas là, une négligence apparente de notre part pour nous même ?et pour l'autre bien entendu?

Aah! Qu'est-ce qu'il est difficile de cerner toute la nature humaine! 

Nassima

écrit par : Asmae 

De la poussière ocre, rien qu'une poussière qui balaie le vide.Une peur me hante, me tue. L'autre. Un complexe. Une faiblesse. Je demeure indécise. Je suis perdue. J'ai envie de crier fort comme je ne l'ai jamais fait. J'ai perdu la voix ....et la voie. Un goût salé. Une larme. Amer est mon silence. Confuse est ma conscience. Au fond d'un coeur qui est le mien, tant de sentiments s'entremêlent . Des passions naissent, d'autres vieillissent, mais ne meurent jamais. Mes veines méditent. La raison a ses discours sérieux. La passion a ses chants sensuels. Je n'ai que l'embarras du choix. Je n'ai peut-être qu'un rien, infiniment petit et grandement mou. Il y a des choses difficiles à dévoiler, à contrôler ... J'ai mal !

Un son s'élève et retentit dans mon esprit las. Une voix absente me chante des paroles que je n'entends point. Des notes chatouillent mon ouie, je ne sais d'où elles proviennent. Je n'ai en mémoire que le hennissement d'un cheval scellé et trop agité. Le galop des souvenirs passés et présents résonne plus fort et plus haut. Je n'entends plus le son. les cordes du violon se sont tuées ,amorties. Attendez! attendez ! Il y a encore une flûte bleue, tout comme ma peur, qui siffle. Elle a encore des aveux. Elle, au moins, peut chanter son amour sans avoir à se soucier de la réaction de celui qu'elle aime, et de plus tard. Elle est faite pour émettre de la musique. Elle le fera en toute circonstance.

Espoir?! confiance?! volonté?! courage?! J'ai envie de pleurer encore et encore.

Dans les yeux s'impriment les traces du temps.

Les feuilles des arbres apprennent par coeur les chansons du vent et du ciel.

Les rimes, quant à elles, poursuivent leur danse sur les rythmes de la vie.

                                                                  Nassima

Nassima dit : " kan yamakan , fi 9adimi zaman wa7d lbnya sghira smeyteha lya9ot ...

Dounya dit : kant me7bouba 3end walidiha bzzaah w fiha wa7d ljamal la youssaf

Houda dit : mechi 3and walidiha mé li chfha w hder m3aha tayhma9 3lihakolchi fiha zin

Asmae dit : walakin hia wa7d li kan f 9albha w baghah wakha kanou kijiw bzaf itjwjou biha kant katrfed 3la 9blou

Nassima dit : talwa7d nhar 9rerat anaha tod3 7ed lhadchi otgol lwalidiha 3la hadak li chaghel baleha

Dounya dit : ewa nhar 9ererat tfchi serrha lwalidiha , jaw chi nass ydo99ou darhom , w tsm3i mouha tatghwet moulay seltane zarna, w baha kaygol nhar kbir hada mli zarna sidi seltane  

Houda dit : moulay seltane maymekch  wash ana fay9a wlla tanhlemm ma3reft ashnoo brra moulay seltane mn nass bhalna msaken ma 3endhom ghir charafhom

 Asmae dit :dkhel moulay stlan ldar lya9ote w r7bou bih darhoum a7san tir7ab w dallou kaytsa2lou 3la sabab ziara dialou

Nassima dit :lya9ot b9at ldakhel tatel mn ch9at telbab, osm3athom kayhdro 3liha. Molay seltan ja talb ragheb fyediha lweldo lwa7id surtt mli sm3eha taterfed kol mn jaha, oja 3ndeha tal dar gal z3ma ykber biha

Dounya dit :ewa mli  Sem3at l5abar masd9atch , bdat katerjech w chedatha l5el3a : Kifach n9der rfed weld seltane  w howa lli malk lblad w nassha  w chnou rangoul l walidia wana kanchof lfer7a f 3inihom mli sm3ouni metlouba lweld seltan w Kifach n3awd lihom 3la serri w 3la me7boubi 

 
Houda dit :b9at nhar blilo w hiya katfkker, wakha hadchi makayn bnadem maykker fihh
hiya b39elha w maymkench diyi3 3liha w 3la darhom for9a rat9anadma 3liha ila diy3atha
w 9rarat tbouh lihom bsserha w thawell takhod rayhomm
wakha hiya 3arfa achno rayhom

Asmae dit : 7art bzaf w tsa2late wach darhoum it9ablou hadchi? wach hia tnsa3 l2amr walidiha w t3ich m3a wa7d flwa9t li 9lbha w tafkirha mchghoul bwa7d akhor? wach tsme3 l9lbha wla l39elha ?? hadchi makan la 3al bal wala 3l khater

 Nassima dit :kant tatmna kon t9der twassel m3a 7bibha 3assa yfti 3liha chi rey, walakin darhom kant mtew9a mzian, la mrssoul ynadi wala bachar ytmemel. b9at lil kaml tatfker, oredkhat fel akhir l amr law9i3 o9lbha mt7esser o9blat bedmo3 bin 3iniha.   Si molahom l amir mn jihto

Dounya dit : kan  balou mechghoul biha w mli t2ekked bi annaha 9abla , mageddatou fer7a ,  sift a7ssan makayn flblad men dhaz

Houda dit :matnsawech hadchi kollo w lya9ott machayfach weld moulay seltane. ch hal ferhoo walidiha bdikk lhdiya , mechi darhom mé l9bila kamla

Asmae dit :hada i9der ikoun 7olm ay bent ga3 bnate l9bila tmanaw ikounou blastha walakin hia kant mkhabia l7ozn w l2alam f ldakhl dialha w kat7awl tbayan anaha fr7ana bach ta walidiha may 7assou bwalou w madiya3ch 3lihoum far7thoum li mat9adar btamane

Nassima dit :ewaa dazt sb3yam, ach mn seb3yam gol sbe3 chehour telfer7 odkhlat lya9ot l9sser owlat kat3aml ka ayoha amira. 7bibha lmjhoul mn jihto mli sa9 lkhbar ts7abo wach ghdrat bih

Dounya dit :ewa moulatna lya9ot l2amira w sidi seltane lli wlla seltane men be3d mamat bah , rze9hom rbbi b doria sali7a , w darou 3ech dyalhom w mchat ayam w jat ayam  ...

Houda dit :kant mrra mrra w hiya m3a sltane katfkker habibha w fach katchofoo dakhell 3liha kayjiha bhaloo, mé katrja" w kat3ich lwa9e3 chakhss li hbat mechi howa sltane , yieh hiya rah weldat mnno w kathass dima rah kayna shi haja zouina binathom w ma3arfach achnahiya. mé li makantsh 3arfa, w li ma3maro ja liha 3la khaterha howa anna habibha kan howa nefsso sltane li tzewjatt bihh. mé trat lih hadita f9ed  be3dha dakira  w tkhalto lih malamihoodaro lih 3maliyat tjmill ktirra htta wlla hakka w had l9issa mafrass htta hedd


Asmae dit :makanch li momkine igoul liha l7a9i9a walakin l2i7sas dialha kan ghadi w ki9wa ana hadchi li kat7ss bih mn jiht moulay saltan machi 7adite l3ahd w bdate katchek

Nassima dit :wa7d nhar kima f3adt sultan , kan kahrj lsyada gol howa mli kan feghaba ljew tbdel dghya ota7o chtyaan ob9aw ch7al modrin ma9doch mazal yrej3o 7it t7bssat tri9

Dounya dit : ewa tah sidi seltan f dolomat tlghaba , w chtta w lberd w re3da , f had l2aw9at l2amira ya9ot  5aterha 3elmatha b chi 7aja , 5llat lwlad na3ssin w lbsat l7ayk dyalha w 5erjat 3end l7achia katswel 3la seltane , temnouha w galou liha rah m3ah l7aras ma3endek 3laCh t5afi ,walakin  hia jrraat w men zherha jat tjri w hia tzle9 f derja w thersat rkobtha 

Houda dit :rah ma9anna3hach dakchi li galo liha bla maychofoha lbsat hayk dialha w dat silahh dial moulay sltane. w mshat t9allab 3la seltane fost lghaba, b9at lil kamlo w hiya kat9allab f dlam w lberd w makhaftch"baz liha" w tkhbat tht wahd shjra htta ban doo w hiya tkammal t9lab, htta f9dat l2amal w kant raj3a fhalatha w howa yban liha selhamo; jrrat w hiya tl9ahh mlyouh w mdroub f rasso frraha  frrahat bzzaf mé howa makaytharrakch khaft 3lih w bdat katfiyi9 fih w hiya t3tih chwiya dial lma kan m3aha w howa yfi9 w fach chafha 3yit liha lya9out ana rah kent ftri9i nshof bah bach nkhatbekk lya9outt hbibti magueltch lik rah ana weld sltane

Houda dit :wa safii tmma "rfatt lha9i9a wban kolchi w rj3o ldarhoomw 3asho btabat w nabatsafii sahla l9adiya

Asmae dit :w gabou soubiane w banat

Dounya dit : w t3chaw b batat m9lia

                                                                                                  ... (yotba3 :D)

Un jour,

une étoile brilla de mille feux, illumina les profonds ténèbres du noir céleste... D'un éclat foudroyant, d'une magie ensorcelante...

une lueur d'espoir traversa les fissures d'une fenetre fermée, embrasa la vie d'un etre prostéré...

Une rose fleurit au milieu du désert, enivra tout amateur par son odeur envouteuse...

Soudain,

une ombre disparut sans laisser de traces...

l'écho d'une voix se dissipa dans les tréfonds de l'oubli...

des souvenirs se basculèrent entre les vagues d'un océan enragé...

Seul un mirage demeura:

celui des rires , des pleurs , des moments de joie , d'autres de douleur, des gestes d'amour , des erreurs...

un mirage ou toute une vie se résuma...

Car,

comme par enchantement, un masque tomba, un visage se dévoila... tout n'était qu'une comédie, une pièce de théatre dominé par une empreinte étriqué...

l'empreinte d'un acteur qui incarna un personnage... ne parvint plus à s'en débarrasser, à distinguer le flagrant certain du cruel perplexe... s'égara dans le labyrinthe de sa vaste imagination et son étouffante appréhension...et finit par croire en son odieuse pureté blessée par la cruauté de son autre... un autre accusé d'etre l'acteur, et lui?... lui :D.. un pauvre dupe...

oh! le pauvre loup qui alla etre dévoré par le vilain lapin...

cela n'était rien qu'une petite pause, une longue méditation... mais la route reprit sa traversée sur un arche flottant , fredonnant le chant de la liberté, dansant au rythme du bonheur, savourant l'agréable gout de la vie...

céder place à l'échec aurait été une soumission à l'ingratitude humaine... 

un esprit bouleversé par des idées en désordre est la source de ces humbles mots tracés par une plume exaltée, assoiffé qui ne cessera de les faire jaillir , de les émanciper... 

                                                                                                                                            écrit par :  Asmae 

Des Mots en bataille, qui se heurtent, qui se débattent, cherchant un échappatoire pour se libérer, exprimer leur joie, leur désarroi...

Des Mots doux, des Mots blessants, qui sombrent dans un tourbillon de silence, qui hantent une ame affligée par l'injustice, la cruauté du genre humain...

Des Mots qui pleurent, des larmes qui parlent, une plume qui saigne, incapable de coudre une étoffe aussi déchirée, d'assembler ce fil infini de Mots entrelacés...

Des Mots qui persistent, d'autres qui s'effondrent dans l'oubli, des pensées, des cris, des souvenirs, des paroles, des promesses, des regrets... se percutent par une muraille de silence effrayant, s'emprisonnent dans une salle ou règne une froideur glaciale, sèment des sentiments de haine, de nostalgie, d'amour, d'éspoir... renforcent la foi, la certitude, le doute, la crainte, le courage...

Des Mots perdus, égarés, au millieu d'un océan, dans le pénombre, transportés tantot par les orages de la colère, tantot par la brise d'un coeur qui vibre encore aux rythmes de l'affection, de la passion, de l'amour, de la tolérence, de la patience, du pardon...

mais voila un rayon de soleil qui se lève à l'aube d'un nouvel horizon, d'un nouveau chemin, le chemin de la sérénité, de la tranquilité, de l'aisance, de la joie de vivre... guidé par la foi , la croyance dur comme fer qu'un jour ' justice' dira son Mot... un seul Mot qui gouvernera, qui condamnera tout autres Mots au silence perpetuel....

la sentence est tombé, seul le tribunal divin pourra plaider...

jusqu'à nouvel ordre , cela reste Des Mots ... juste Des Mots ...

                                                                                      écrit par :  ASMAE 

Les heures coulent comme coule l'eau d'un ruisseau.
Les minutes s'accrochent à une muraille de mieux qu'elles peuvent pour ne pas être emportées ailleurs...mais une force les arrachent et les obligent à marcher tout au long d'un couloir, une ruée nue de toute couleur...

Une voix ,ta voix se perd en echos...ta vie devient souvenir...éclats de rires, sourires, pleurs, mots, images, silence, cris, ...tout se confond et valse aux rythmes de la mémoire.
J'écris maintenant et les secondes m'échappent 

Je ne peux pas leur courir après 

Je demeure impuissante à les rattrapper, à avoir leur cadence. Le temps coule, s'enfuit ...

Vaste est le ciel, libre est le vent , doux est le murmure des âmes, sombres sont les profondeurs de l'oubli ...

Son coeur cherche ,fouine encore, ses yeux sont aveuglés par une lumière bleue , le son est lointain... il fait très chaud ... sa main est suante; Il transpire ; il respire

Je tremble

Dieu merci , il est vivant!

Ils ont dit que "le Temps révèle des choses"

Ils ont dit que "le Temps est sage"

Ils ont dit que "le Temps est un voleur"

Ils ont dit que" le Temps est sinistre"

Ils ont dit que " le Temps est le silence de la vie"

"toc toc toc...". L'aiguille tourne.
Et le chant se poursuit.

                                                                               Nassima